[Hall d'entrée] Premier jour [Pv Romain] - en cours.

- La situation du topique dans le temps : Le sujet se situe mi-mars, un lundi vers 9 heures.
- La Météo : 11°C. Il y a du Soleil, l’air est sec et venteux.
- Langue principale du rp : Le français.

Spoiler:

Karolina était arrivée tôt ce matin pour pouvoir finir de mettre un peu d’ordre dans certains dossier, lire un rapport et apposer (ou non) sa signature sur les papiers qui en avaient besoin.

Vers 8 heures 40 cependant, elle s’arrêta et se dirigea vers la machine à café située dans le couloir sur lequel, pour s’en servir un. Comme dans toutes les machines à café de ce genre, les boissons qu’elle produisait n’étaient pas terribles, mais elles contenaient de la caféine et c’est tout ce qui comptait aux yeux de la jeune slovaque. Une foi qu’elle eut échangée deux ou trois mots avec le reste du personnel de l’agence qui commençait à arriver et passait dans le couloir, elle se dirigea, tranquillement vers l’ascenseur qui devait la faire redescendre et la conduire dans le grand hall d’entrée.

Romain Rey et elle avait en effet rendez-vous vers neuf heure dans ce dernier, afin que Karolina puisse l’accueillir comme il se devait pour son premier jour de travail et lui présenter l’équipe avant de se mettre à l’ouvrage.

La directrice de leur agence, Diana, l’avait bien évidement consulté au moment de prendre la décision d’intégrer Romain au service qu’elle dirigeait, mais Karolina ne l’avait vu qu’en photo.

Elle arriva en outre dans hall avec un peu d’avance, mais chercha tout de même du regard le jeune homme, au cas où il serait déjà dans le hall.

Spoiler:

Ce bus avait bien faillit me mettre en retard, enfaite, le réseau était pas super dans Paris, trop de circulation, et puis, vu le monde qu'on y retrouvais dedans, cela ne donnait nullement envi de prendre le bus... Marcher à pied faisait du bien, c'était économique, écologique, et tout aussi rapide que le bus, d'ailleurs, j'arrivais même avec de l'avance. Je relisais l'adresse que l'on m'avait donné, je regardais ce qu'indiquait le GPS de mon portable, j'étais devant un bâtiment standard, comme en existait beaucoup d'autre, massif vu d'extérieur, mais discret tant ils se ressemblaient tous. Je rangeai mon portable et m'avançai alors vers l'entrée du bâtiment, j'ouvris une porte et entrai dans le grand hall, en face, sorte de gichet, standard, là on faisait diverses demande. Plusieurs hôtesses attendaient, devaient se tourné les pouces. L'une d'elles vint me voir.

"Bonjour monsieur, puis-je quelque chose pour vous ? "

"heu, nan, j'attends quelqu'un, merci."

"Peut être puis-je vous aider à trouver cette personne ? "

"heu... j'ai rendez vous avec une certaine Karolina Zemko "

L'hôtesse me souris et m'indiqua alors une jeune femme qui semblait attendre aussi. Je lui souris à mon tour et la remerciai d'un geste de tête. Je me dirigeai vers la jeune femme, celle ci me remarquai, et j'allai à sa rencontrer avec aucune idée de comment engager la chose, comment on fais quand on rencontre son équipe, est ce que tout devais être sérieux, aucun prénom ? que les noms... j'y avais pas mal réfléchi sur le chemin...

"Bonjour, je me présente, Romain Rey, vous devez être Mlle Zemko ?"

Karolina fini par apercevoir Romain qui avait visiblement été plus rapide qu’elle puisqu’il marchait déjà dans sa direction quand elle le reconnu.

Il le salua ensuite une foi arrivée à son niveau, avant de se présenter.

Romain a écrit:

"Bonjour, je me présente, Romain Rey, vous devez être Mlle Zemko ?"

- C’est bien ça, répondit-elle en souriant.

Elle se dirigea ensuite vers l’un des deux ascenseurs situés sur le mur opposé à celui où étaient situées les portes d’entrées de l’agence, tout en continuant à parler.

- Je suis Karolina Zemko, mais vous pouvez m’appelez Karolina, précisa-t-elle toujours en souriant.

Elle-même avait un peu hésité parce qu’elle était tout de même chef de service, mais la plupart des employés de l’agence s’appelait par leur prénom et elle ne voyait pas trop pourquoi elle lui aurait demandé de faire autrement.

- L’ascenseur de droite mène aux bureaux du service de gestion des Aro, au service de recherche des EOLT ainsi qu’aux bureaux du service de présentation, expliqua-t-elle ensuite tout en appuyant sur le bouton d’appel du dit ascenseur, après avoir inséré sa carte dans la fente prévue à cet effet.

Elle montra ensuite cette dernière à Romain et poursuivit :

- Il faut une carte d’accès pour l’appeler. Une foi dedans, l’ascenseur ne validera pas votre demande tant que vous ne l’aurez pas faite avec votre carte. Il refuse aussi de partir si toutes les personnes présentent à l’intérieure n’ont pas de carte, à moins que quelqu'un tape un code accompagnateur.

C’était fastidieux, il fallait le reconnaître, mais au moins cela évitait que les intrus, que ce soit de simple petits curieux ou des individus moins bien intentionnés, parviennent jusqu’aux étages où aux sous-sols où ils pourraient voir des choses que l’agence ne souhaitait pas montrer.

- Votre carte est prête, ajouta-t-elle ensuite, tout en insérant à nouveau la sienne près des boutons, en appuyant sur le bouton du troisième étage et en tapant un code à 4 chiffres, vu que sa dite carte se trouvait encore dans son bureau.

- Arriver en haut, je vous présenterais au reste de l’équipe –ou au moins à ceux qui sont là, puis on essaiera de faire le tour des principaux outils de travail si on en a le temps.

- Oh, et n’hésitez pas à m’interrompre si vous avez des questions, dit-elle ensuite, consciente qu’il y avait peut-être des choses qui allaient de soi pour elle, mais qui ne l’était pas pour qui faisait ses premiers pas dans l’agence.

La jeune femme acquiesça lors que je lui demanda si elle était Mlle Zemk . Les formalités s'en suivirent, nous nous dirigeâmes vers un ascenseur. Pendant ce temps, j'appris que son prénom était Karolina, et que je pouvais l'appeler ainsi, peut être les membres du secteur dans lequel j'allais travailler s'appelaient par le prénom. Je hochai de la tête. Que pouvais-je faire d'autre à part sortir des "bien, bien" . Je contentai de la suivre.

Nous arrivâmes à l'ascenseur. J'eus le droit à une rapide explication sur les destinations de cet ascenseur. Je hochai la tête, elle inséra sa carte pass dans la fente après avoir appeler l'ascenseur. Elle m'explique ensuite le fonctionnement de la sécurité dans cette "entreprise". Ma carte était prête d'après ce que je compris, peut être m'attendait-elle la haut, possible. Ce genre de système me paraissais simple... Je veux dire, en terme normal, la sécurité du must, c'était les scanners d'empreinte génétique, ou encore les scanners rétinien. Ainsi, cela aurai été plus difficile contre les tentative d'infiltration, ou etc...

Une fois dans l'ascenseur, je sus que arriver en haut, je serai présenter au reste de l'équipe, plus ou moins ceux qui seraient présent, et il était vrai qu'à cette heure, enfin, je savais pas du tout qu'elle seraient les horaires ici.

"bien, j'aurai quelques questions en effet. "

Autant en poser maintenant.

"Déjà, qu'est ce que je saurai amener à faire exactement, en fait, on ne m'en a pas trop dit. Et sinon, à par moi, y a-t-il d'autre extraterrestre à travailler ici ? "

(Hj : Lien vers les fiches personnages présents ou cités : Claire Dunkett - Alexia Aubert - Déborah Wilkins - Dylan Bac - Stéphane Roger)

Déjà, qu'est ce que je saurai amener à faire exactement, en fait, on ne m'en a pas trop dit. Et sinon, à par moi, y a-t-il d'autre extraterrestre à travailler ici ?

Karolina plissa un instant ses yeux comme ses sourcils en entendant la première question de leur nouvelle recrue.

Elle avait pensé en effet, qu’on lui avait un peu parlé du voir des différents services, histoire de voir ce qui l’intéressait le plus… Elle pouvait se tromper néanmoins, à moins qu’elle ait raison, mais qu’on ne lui ait pas dit où il avait été « affecté » ?

Karolina décida néanmoins que cela n’avait pas vraiment d’importance, et chassa rapidement ses pensées comme elle l’aurait fait d’une mouche avec un geste de la main.

- Pour le moment vous travaillerez au service d’intervention, qui appartient au département de recherche des EOLT, les EOLT étant des Extraterrestres occupant librement la Terre, c’est-à-dire sans que nous soyons au courant.

- Plus concrètement, nous intervenons à l’extérieur de l’agence quand les membres des autres services du département pensent en avoir repéré un. Nous devons établir une sorte de premier contact avec eux et tenter de les convaincre de nous suivre jusqu’aux locaux de l’ORPETT où les membres du service de présentation leur présentera l’organisation, le tout en étant le plus discrets possible.

Karolina marqua ensuite une petite pause, le temps de lui laisser intégrer tout ça. En sortant de l’ascenseur, on arrivait par ailleurs dans un couloir et Karolina avait bifurqué dans la partie gauche de ce dernier, avant de le longer d’un pas tranquille.

- En cas de pépin avec un ARO (alien résidant officiellement sur Terre, ceux dont nous connaissons l’existence et dont nous suivons le parcours), il nous arrive aussi d’intervenir et de seconder le service de suivie des ARO.

- Il arrive aussi que des membres du service de présentation nous accompagnent, puisque c’est eux qui s’occuperont des nouveaux arrivants une foi ici.

Tout en prononçant ces mots, Karolina et Romain avaient atteint le bout du couloir, et la jeune chef de service s’était arrêtée la main sur la poignée d’une porte le temps de finir sa phrase.

Elle poussa ensuite celle-ci et ils entrèrent dans une large pièce. Deux grands bureaux se trouvaient dans la pièce et un troisième ressemblait plus à un point d’accueil qu’à autre chose. La pièce donnait par ailleurs sur d’autre bureau comme le laissait voir leur porte en partie transparente.

- Nous sommes ici dans le département de gestion des ARO. Je vous présente Dylan, dit-elle ensuite en parlant d’une jolie jeune femme au sourire contagieux qui tenait toujours dans les mains, les dossiers qu’elle portait quand ils étaient entrés. Elle vient d’un amas de Galaxies voisin du notre, précisa t-elle ensuite en souriant légèrement à la jeune femme qui ne sembla pas gênée du tout par cette précision et qui salua Romain d’un geste de la main, des plus humains sans se départir de son sourire. Et voici Déborah, continua t-elle avant de chercher Alexia du regard.

Déborah était nonchalamment appuyée sur un bureau et avait aussi arrêté de faire ce qu’elle faisait en entrant –à savoir touiller son café. Elle semblait par ailleurs avoir compris quelle était la raison de sa pause.

- Alexia est partie voir Akkar, précisa t-elle en effet. Elle a dit qu’elle avait l’intention de lui botter les fesses, je sais plus trop pourquoi, mais je suis certaine qu’elle en fera rien du tout.

Karolina sourit légèrement à Déborah pour la remercier de l’information, puis précisa à l’intention de Romain.

- Akkar est le chef de notre service médical.

- Et il ressemble comme deux goutes d’eau à un personnage de Star wars, commenta Dylan. Je ne comprends pas pourquoi il ne veut pas de seconde peau.

Karolina sourit poliment –ces bavardages ne la dérangeait pas, mais elle préférait s’y livrer un autre jour, quand elle n’aurait pas à faire la tournée des bureaux de l’étage et quand ils ne risquaient pas de l’empêcher de bosser une matinée entière, puis revint à ses moutons.

- Dylan et Déborah travaille aux services de suivies des ARO, précisa-t-elle alors, toujours sur le ton de la présentation. Mesdames je vous présente Romain Rey qui vient rejoindre mon service.

Les visages souriants et visiblement approbateurs des deux jeunes femmes se retournèrent ensuite vers eux un instant, puis Karolina reprit.

- Les bureaux du fond comme ceux de l'étage servent surtout aux entretient avec les ARO et au rangement de certains dossiers. Au fond à gauche, dit-elle en désignant le partie de la pièce ou celle-ci se transformait en couloir, vous trouverez le bureau du chef de service d’élaboration des couvertures, ainsi que celui du service de conservation des moyens de transports dont s’occupe aussi en partie Dylan.

- Est-ce que Stéphane est arrivé ? demanda-t-elle ensuite aux deux jeunes femmes qui avaient continué à parler de Star wars et comparaient à présent l’ancienne et la nouvelle triologie, Dylan étant particulièrement enthousiasmée par le sujet et Déborah se montrant plus réservée quoi qu’elle semblait très bien connaître le sujet.

Dylan eut néanmoins une légère moue à la mention de Stéphane, tout en reportant son attention vers elle.

- Il est dans son bureau, mais il discute avec Claire. Tu veux que je l’appelle ?, demanda-t-elle ensuite après une légère pause, l’air peu convaincue.

Karolina hocha alors la tête à ses propos, puis déclina sa proposition : au mieux Stéphane était morose et renfermé, quand il n’était pas visiblement contrarié, sa présentation attendrait donc. Celle de Claire –qu’elle avait oubliée sur le moment- pourrait attendre.

- Je pense que l’on va vous laisser dans ce cas, dit-elle alors.

Se faisant, elle s’adressait surtout aux deux jeunes femmes, mais regarda aussi Romain en terminant afin de voir si ce dernier n’y voyait pas d’objection.

Tout au long je suivis Karolina, en écoutant ses précisions, je savais maintenant que je travaillais au service d'intervention, remarque, vu mes capacités, c'était surement normal pour moi après tout. Ils débouchèrent ensemble sur des bureaux, en arrivant, je vis deux jeune femme travailler, ou plutôt, une avec des dossiers en main, un sourire contagieux au point ou je lui souris moi même, la seconde, elle, se contentais de touiller son café, ou chocolat chaud, non, son café, l'odeur était aussi amère que le gout de cet excitant. Je suivis la chef de services dans ses présentations, et souris à chaque fois que l'une d'elle me regarda après prononciation de son nom. Je savais maintenant aussi que je n'étais pas le seul extraterrestre. D'ailleurs, à quoi ressemblait Dylan en vrai ? , comment marchait leur seconde peau ?

Apparemment, les membres n'étaient pas tous réuni, seulement deux devant moi, plus celle qui était venue m'accueillir. Un homme dans son bureau, avec une femme semblait-il, une autre était parti "botter les fesses à un extraterrestre tout droit sortir de starwars. On forfait une drôle d'équipe , enfin, on, pour l'instant, ils, mais peut être on dans peu.

Ensuite, Karolina, pensa à nous laisser, si j'y voyais pas d'objection... Ce n'était pas le cas, mais avant, il faudrait répondre à une réponse cruciale.

"Heu, oui, bien-sur, mais heu... une dernière question d'importance, je fais quoi ? maintenant ? "

Je disais presque ça sur un air timide, gêner, déjà que j'étais à mon premier boulot, alors là, si on m'abandonnait que je ne avais qu'a peine ce pourquoi j'étais ici, c'était la catastrophe dans mon esprit.

Romain a écrit:

"Heu, oui, bien-sur, mais heu... une dernière question d'importance, je fais quoi ? Maintenant ? "

Karolina fronça un instant les sourcils d’incompréhension en entendant la question de Romain. Elle fini néanmoins par comprendre d’où venait ce couac et puis donc lui répondre pendant que ses sourcils reprenaient leur place habituelle sur son visage.

- Vous étiez inclus dans le « on », quand j’ai dit qu’on allait les laisser, dit-elle alors tout se demandant si cet éclaircissement en était finalement réellement un.

Elle ouvrit ensuite la porte et puis la tient pour que celle-ci ne se referme pas juste quand Romain essaierait de la franchir. Elle crut vaguement entendre l’une des deux jeunes femmes avec qui ils avaient discuté murmurer quelque chose comme un « vous devriez la suivre » à peine audible, mais elle n’en tint pas compte.

Elle se remit en revanche à longer le couloir qui les avait conduit jusqu’au département de gestion des Aro dès que Romain l’eut rejointe dans le dit couloir, puis reprit la parole tout en traversant le couloir dans l’autre sens.

- Juste en face de l’ascenseur, se trouve la porte qui mène au bureau du service de présentation, dit-elle alors. Vu l’heure en revanche, je pense vous en présenter les membres plus tard, continua t-elle après avoir jeté un coup d’œil à sa montre, puis en désignant la dite porte quand ils arrivèrent à son niveau.

Toujours en avançant, Karolina reprit ensuite :

- Vous avez ensuite les toilettes sur la droite et sur la gauche la machine à café.

Karolina s’arrêta sur ses mots près de la machine –une machine landa comme on pourrait en trouver dans à peu près n’importe quel bureau- et demanda à Romain s’il voulait quelque chose tout en introduisant des pièces dans la machine pour se resservir un gobelet d’un café très serré.

- A ce bout là du couloir, dit-elle ensuite, en désignant une porte qui était parfaitement visible de là où ils se trouvaient, se trouve les bureaux des services du département de recherche des EOLT, c'est-à-dire des Extraterrestres occupant librement la Terre. C’est là que vous aurez à travailler quand on ne sera pas sur une intervention à l’extérieure.

- Le département se décompose en trois services, celui des éplucheurs qui passent leur temps à éplucher des centaines de données à la recherche d’un indice, celui des vérifications dont les membres essayent de vérifier en restant ici les pistes dénichées par le premier service et celui des interventions –le notre- qui envoi des équipes sur le terrain quand c’est nécessaire.

- On est souvent dehors, dit-elle ensuite, en prenant la direction du dit service, mais il nous arrive aussi de rester un ou deux jours d’affiler. Dans ce cas, on donne généralement un coup de main aux autres services du département. Il se peut aussi que l’on vous demande d’être présent pendant que le service de présentation fait son boulot s’ils pensent que c’est nécessaire. Enfin, chaque intervention, quelqu’en soit le résultat doit être suivie d’un rapport individuel rédigé par tous les membres y ayant participé.

- Laissez-moi une minute le temps de finir et je vous montre le bureau avant de vous briefer rapidement sur l’équipement, dit-elle ensuite avant de boire presque d’une traite le café qu’elle avait un peu laissé refroidir pendant qu’elle parlait et qu’elle fini avec une légère grimace, ce dernier n’étant pas forcement des plus savoureux.


[Hj : Dsl pour le retard, j'ai pas vraiment pu répondre avant. Normalement, ça ne devrait plus se reproduire, même si j'aurais surement une cadence d'une réponse par semaine, pas plus.]